Dans ce rapport, il y est fait clairement mention que ces aides sont détournées par des hauts dignitaires du régime algérien et du polisario, notamment en raison d'une surestimation du nombre de réfugiés sahraouis par l'Algérie qui refuse tout recensement.
Ce même rapport révèle l'existence de nombreux entrepôts dits secrets où sont entreposées les marchandises détournées et par la suite convoyées vers la Mauritanie et le Mali pour y être écoulées au grand profit de hauts responsables algériens et polisariens.
Le Département d'aide humanitaire de la Commission européenne (ECHO) a ainsi pu découvrir que ses produits, destinés aux réfugiés sahraouis des camps de Tindouf, étaient vendus sur les marchés de Béchar en Algérie mais également à Nouakchott, Chingetti et Nema, trois villes mauritanienne.
Même les dons en matériel médical ont été vendus à Tindouf et Alger. Quant aux pièces de rechange pour les réservoirs d'eau, une ressource vitale dans cette région désertique, ont été commandées à plusieurs reprises et revendus.
Participent également à ces détournements les agent des services algériens (DRS) qui disposent de magasins d'alimentation dans les camps des séquestrés sahraouis pour y vendre l'aide humanitaire détournée.
Ces mêmes agents récupèrent aussi les salaires et pensions versées par le gouvernement espagnol aux sahraouis retraités.
Au regard de ce qui précède, il est plus qu'urgent que la communauté internationale se mobilise pour mettre fin au calvaire que subissent les séquestrés sahraouis dans les camps de Tindouf où l'alimentation de base et l'eau sont d'une extrême rareté. Des séquestrés sahraouis en grand danger en raison d'une volonté d'enrichissement de grands ponte algériens et polisariens.
Farid Mnebhi.
Ce même rapport révèle l'existence de nombreux entrepôts dits secrets où sont entreposées les marchandises détournées et par la suite convoyées vers la Mauritanie et le Mali pour y être écoulées au grand profit de hauts responsables algériens et polisariens.
Le Département d'aide humanitaire de la Commission européenne (ECHO) a ainsi pu découvrir que ses produits, destinés aux réfugiés sahraouis des camps de Tindouf, étaient vendus sur les marchés de Béchar en Algérie mais également à Nouakchott, Chingetti et Nema, trois villes mauritanienne.
Même les dons en matériel médical ont été vendus à Tindouf et Alger. Quant aux pièces de rechange pour les réservoirs d'eau, une ressource vitale dans cette région désertique, ont été commandées à plusieurs reprises et revendus.
Participent également à ces détournements les agent des services algériens (DRS) qui disposent de magasins d'alimentation dans les camps des séquestrés sahraouis pour y vendre l'aide humanitaire détournée.
Ces mêmes agents récupèrent aussi les salaires et pensions versées par le gouvernement espagnol aux sahraouis retraités.
Au regard de ce qui précède, il est plus qu'urgent que la communauté internationale se mobilise pour mettre fin au calvaire que subissent les séquestrés sahraouis dans les camps de Tindouf où l'alimentation de base et l'eau sont d'une extrême rareté. Des séquestrés sahraouis en grand danger en raison d'une volonté d'enrichissement de grands ponte algériens et polisariens.
Farid Mnebhi.