À l’occasion de la Journée internationale des droits de l’homme célébrée ce 10 décembre 2025, le directeur des droits humains, Mbaïndigra Ngarsede Valérie, a prononcé un discours fort et mobilisateur lors de la cérémonie organisée par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme au Tchad.
Dans son intervention, il a rappelé la portée universelle et intemporelle de la Déclaration universelle des droits de l’homme, adoptée le 10 décembre 1948, qualifiant ce texte de « patrimoine intangible de l’humanité ».
Selon lui, les droits humains ne sont pas de simples principes juridiques, mais des valeurs fondamentales qui guident la coexistence pacifique entre les communautés. Le directeur a souligné que les autorités traditionnelles et les leaders religieux jouent un rôle clé dans la préservation des droits et des valeurs morales au sein des sociétés tchadiennes.
Dépositaires des traditions et garants de la cohésion communautaire, ils demeurent, selon lui, des acteurs incontournables dans la promotion d’une culture de paix, de justice et de respect mutuel. Il a également encouragé les représentants de la société civile à s’engager davantage pour renforcer les mécanismes de protection des droits humains dans les pratiques locales, invitant à un dialogue permanent entre institutions, populations et leaders communautaires.
« La protection des droits humains commence dans nos familles, nos villages, nos traditions, là où naissent nos valeurs », a-t-il martelé, rappelant que chaque citoyen a un rôle à jouer dans ce combat collectif.
En clôturant son allocution, Mbaïndigra Ngarsede Valérie a salué les échanges fructueux entre les différents acteurs présents et a réaffirmé l’ouverture du ministère de la Justice aux collaborations visant à consolider davantage les acquis en matière de droits humains au Tchad.
Dans son intervention, il a rappelé la portée universelle et intemporelle de la Déclaration universelle des droits de l’homme, adoptée le 10 décembre 1948, qualifiant ce texte de « patrimoine intangible de l’humanité ».
Selon lui, les droits humains ne sont pas de simples principes juridiques, mais des valeurs fondamentales qui guident la coexistence pacifique entre les communautés. Le directeur a souligné que les autorités traditionnelles et les leaders religieux jouent un rôle clé dans la préservation des droits et des valeurs morales au sein des sociétés tchadiennes.
Dépositaires des traditions et garants de la cohésion communautaire, ils demeurent, selon lui, des acteurs incontournables dans la promotion d’une culture de paix, de justice et de respect mutuel. Il a également encouragé les représentants de la société civile à s’engager davantage pour renforcer les mécanismes de protection des droits humains dans les pratiques locales, invitant à un dialogue permanent entre institutions, populations et leaders communautaires.
« La protection des droits humains commence dans nos familles, nos villages, nos traditions, là où naissent nos valeurs », a-t-il martelé, rappelant que chaque citoyen a un rôle à jouer dans ce combat collectif.
En clôturant son allocution, Mbaïndigra Ngarsede Valérie a salué les échanges fructueux entre les différents acteurs présents et a réaffirmé l’ouverture du ministère de la Justice aux collaborations visant à consolider davantage les acquis en matière de droits humains au Tchad.
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Tchad : droits humains, les Nations Unies appellent les acteurs tchadiens à l’unité et à la responsabilité








