La Société Nouvelle-Brasseries du Faso (SN-BRAFASO), grâce à l’engagement et à la volonté politique du président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, est entrée en production après près de vingt ans de fermeture.
À Silmissi, dans la commune rurale de Komsilga, souffle un vent nouveau, celui de la renaissance d’une usine, fierté nationale, expression d’une souveraineté retrouvée : la SN-BRAFASO. Cette « résurrection », est la conséquence d’une politique volontariste imprimée par le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, engagé pour l’industrialisation du Burkina Faso.
« En mars 2024 lorsque nous avons tenté de redonner une nouvelle vie à cette unité, nous avons connu beaucoup de souffrance (…) même pendant la construction, avec les nouveaux équipements commandés pour remplacer tous les anciens, des Burkinabè qui se sont inscrits pour travailler dans la reconstruction ont saboté les appareils nouvellement acquis », témoigne le chef de l’État.
« Nous avons dû prendre beaucoup de mesures particulières de sécurité pour pouvoir aboutir au résultat que vous voyez. C’est pour dire que c’est une unité qui est combattue par l’impérialisme et ses valets locaux », explique le président du Faso. « Mais nous sommes engagés à redonner vie à cette unité et à toutes les unités en souffrance parce que l’industrialisation du Burkina Faso, nous la voulons et nous allons la faire », martèle-t-il.
Réhabilitée à hauteur de plus de 17 milliards FCFA, avec un capital social de 6 milliards FCFA détenu à 70% par l’État burkinabè, cette usine va générer 200 emplois permanents, 100 emplois non-permanents et environ 20 000 emplois indirects.
À Silmissi, dans la commune rurale de Komsilga, souffle un vent nouveau, celui de la renaissance d’une usine, fierté nationale, expression d’une souveraineté retrouvée : la SN-BRAFASO. Cette « résurrection », est la conséquence d’une politique volontariste imprimée par le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, engagé pour l’industrialisation du Burkina Faso.
« En mars 2024 lorsque nous avons tenté de redonner une nouvelle vie à cette unité, nous avons connu beaucoup de souffrance (…) même pendant la construction, avec les nouveaux équipements commandés pour remplacer tous les anciens, des Burkinabè qui se sont inscrits pour travailler dans la reconstruction ont saboté les appareils nouvellement acquis », témoigne le chef de l’État.
« Nous avons dû prendre beaucoup de mesures particulières de sécurité pour pouvoir aboutir au résultat que vous voyez. C’est pour dire que c’est une unité qui est combattue par l’impérialisme et ses valets locaux », explique le président du Faso. « Mais nous sommes engagés à redonner vie à cette unité et à toutes les unités en souffrance parce que l’industrialisation du Burkina Faso, nous la voulons et nous allons la faire », martèle-t-il.
Réhabilitée à hauteur de plus de 17 milliards FCFA, avec un capital social de 6 milliards FCFA détenu à 70% par l’État burkinabè, cette usine va générer 200 emplois permanents, 100 emplois non-permanents et environ 20 000 emplois indirects.
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Burkina : SN-BRAFASO, « l’industrialisation, nous la voulons et nous allons la faire », promet le président du Faso








